Depuis
qu'il a lu chez Walter Benjamin que « prendre ses repas seul tend à
rendre un homme froid et dur », le nihilique ne mange pratiquement plus
que des nouilles et de la purée. Par peur !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)