L'abri
du Très-Haut est sans doute apaisant, mais le mieux, pour ne pas
craindre les terreurs de la nuit, la flèche qui vole au grand jour, la
peste qui rôde dans le noir et le fléau qui frappe à midi, c'est encore
d'être « décédé ».
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)