Paul
Celan : « Décapé par la brise irradiante de ton langage, tout au fond de
la crevasse des temps, près de la glace alvéolaire, attend, cristal de
souffle, ton irrévocable témoignage. »
Le nihilique : « Ah. »
Le nihilique : « Ah. »
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)