Les
accès de dépression récurrents de Cantor, de 1884 à la fin de sa vie,
ont parfois été attribués à l'attitude hostile de certains de ses
contemporains (au premier rang desquels Kronecker), mais les savants
d'aujourd'hui estiment qu'ils étaient plutôt les signes d'un trouble
bipolaire. Quand il ne se sentait pas bien, le mathématicien s'adonnait à
la scarification et allait jusqu'à s'infliger des coupures de Dedekind !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)