Porphyre
enseignait que l'individu divise l'espèce et Robert Férillet, en
commentant l'Isagoge, renchérit sur cette thèse : « Les individus
distribuent l'espèce par leur infinité propre. Tous les individus sont,
en effet, disgrégatifs et diviseurs. En outre, ils puent des pieds et
parfois de la gueule. »
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)