Sa
vision aphoristique de l'existence commençant à lui peser, le nihilique
a décidé de se lancer dans la poésie. Il entend dépeindre de façon
obsessionnelle la solitude et la souffrance humaines, au risque de se
voir traiter d'imitateur de Milosz.
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)