Pour
détruire les pucerons, Pallade dit (De re rustica, liv. I, ch. 35.)
d'employer le jus de jusquiame mêlé de fort vinaigre. Ferrari conseille
(Flora, liv. III, ch. 4.) d'employer l'huile de pétrole. Doppelchor,
quant à lui, propose une méthode toute différente : il préconise
(Océanographie du Rien, ch. 3) de... se pendre. Car en se tuant,
assure-t-il, on détruit le monde et les pucerons avec.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)