Si l'on
pouvait lire la prose de Jean-Guy Floutier en oubliant que l'on est
soi-même Jean-Guy Floutier, il est probable que l'on trouverait l'auteur
fort déplaisant.
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)