« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
dimanche 19 août 2018
Un « estom » à toute épreuve
Comme le crapaud, qui ingère sans dommage des proies toxiques, telles que des coléoptères vésicants, des araignées et des chenilles urticantes, je me goinfre de Rien sans que cela n'érode ma pachyméninge. (Luc Pulflop, Prière d'incinérer. Dégoût)
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