« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
vendredi 16 novembre 2018
Calmant suprême
Celui que tourmente une conscience agitée par le bourrellement incessant de l'haeccéité, la temporalité du temps, la mortalité de l'être mortel, ne peut faire mieux que de se tourner vers l'idée du Rien, si propre, par sa pénétrante onction, à calmer ses agitations et son trouble. (Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
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