Revigoration nihilique
« Rien de tel que de se retremper dans le flot torrentueux
du pachynihil, pour en retirer des vestiges mouvants et pour humer
directement sa force. » (Lettre de l'homme du nihil à Balthus datée du 19
juillet 1934)
(Lucien Pellepan, Énantioses profectives)
Le plus surprenant, dans toute cette histoire, c'est que la double dose de Paracétamol réussit l'inexplicable exploit d'anéantir le nihil même.
RépondreSupprimerFécondité de l'infécondité - turlututu, oserais-je dire.
Anéantir le nihil même ? Je ne vous crois pas. Ce serait tout de même un peu fort de café !
SupprimerSi si, je vous l'assure, j'ai réalisé des études randomisées prouvant que l'absorption d'une double dose permet l'accession au moins que rien, et même davantage dans les cas d'ébriété cosmique.
SupprimerEnsuite, évidemment, c'est le fameux retour au banquet du réel, qui en a tué plus d'un, je vous l'accorde, mais cela ne peut nuire bien longtemps.
Bon, alors d'accord.
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