Le vocable reginglette, ce vocable
que, selon l'homme du nihil, « chacun répète en soi-même jusqu'à la fin »,
est — s'il faut en croire le même — « le seul moyen de s'arracher à
ce ressassement mélancolique, à cette rumination morose sur l'haeccéité,
à cette aversion pour l'existence qui empoisonnent la vie de toute
créature pensante ».
(Fernand Delaunay, Glomérules)
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