Ce
qui différencie fondamentalement l'homme du nihil du monstre bipède est
que ce dernier ne se demande jamais ce qu'il fait là. Son existence lui
semble aller de soi, il s'ébroue dans l'être avec volupté, il est
partout chez lui, le salop !
(Fernand Delaunay, Glomérules)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire