La
destinée du nihilique est-elle tragique ou catastrophique ? Ou un
mélange des deux ? En tout cas, une chose est sûre : elle est lugubre.
En général, vivre est lugubre. Mais il semble que les gens n'en ont pas
conscience. Ils font « jore » qu'ils trouvent la vie « aux pommes ». Les
salops !
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
Il se trouve encore des gens sinistres et cafardeux. Encore heureux !
RépondreSupprimer