Émile
Cioran aime le mot cafard. Bien qu'il soit en général sensible aux
nuances, il ne voit pas que ce vocable est assez « bébête » et qu'on
l'attendrait plus dans la bouche d'une pécore que sous la plume d'un « négateur universel ».
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Le sentiment d'être "sinistre et cafardeux", ou être ainsi qualifié, voilà bien quelque chose qui revigore, en tout cas.
RépondreSupprimerIl y a du vrai, dans ce que vous dites.
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