Dans
ses Cahiers, Émile Cioran confesse que son rêve le plus cher fut
toujours de terroriser ses semblables. Il raconte avoir confié un jour
au professeur Munteanu que, s'il n'avait pas embrassé la profession de
négateur universel, il aurait aimé travailler à la DGCCRF.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
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