L'angoisse
kierkegaardienne se distingue de la peur zweigienne en ceci qu'elle n'a
pas d'objet bien défini (ce qui la rend quasi impossible à combattre).
Elle vous suffoque chaque matin au réveil, et comme Kierkegaard lui-même
l'a noté, c'est « malaisant ».
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)
Pour ceux qui n'auraient pas les moyens pour l'angoisse, il reste l'anxiété, qui peut faire un bon petit travail de sape au quotidien.
RépondreSupprimerL'anxiété serait donc l'angoisse du pauvre ?
RépondreSupprimerC'était pour minimiser.
SupprimerAh, d'accord.
SupprimerL'attaque de panique surpasse tout. Nous la nommerons : "coup de marteau de la clairvoyance".
RépondreSupprimerHeureuse cousine de Laura et Pam !