Quand
soudain on se rend compte qu'on existe, on éprouve un sentiment
fiévreux de terreur et de mélancolie que ne parviennent à dissiper ni le
mouvement de la voiture, ni l'aspect de Paris, ni l'éloignement relatif
où l'on se trouve des aliénés. C'est terrible... — Oui, c'est
terrible, il n'y a pas d'autre mot.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire