Muni d'un saucisson à l'ail, vêtu d'une robe de chambre à ramages, Paul Claudel parcourait à grands pas, tel un prophète hébreu, les couloirs méandreux de la neurasthénie. Comble de déchéance, le saucisson n'était pas pour la « briffe », c'était pour se sentir moins seul.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)

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