Sans se
prendre pour le poëte Fernando Pessoa — « Ô roues, ô engrenages,
r-r-r-r-r-r-r éternel ! Violent spasme retenu des mécanismes en
furie ! » —, on sent que la tristesse est comme le pain d'épice, mais
on est incapable d'expliquer pourquoi. La spongiosité ? L'arrière-goût
de cannelle, de muscade et de clou de girofle ?
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)
Temps de vous convertir à la brioche vendéenne.
RépondreSupprimerAh, la brioche vendéenne ! Quel délice ! (Trad. de Simon Leys)
SupprimerLe petit côté sucré de la tristesse, aggravé par la consolation ?
RépondreSupprimerC'est sûrement ça.
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