L'homme du nihil définit notre époque « le
temps de la déréliction » : Dieu s'est détourné de nous et nous laisse à
notre destin, celui de créatures du pachynihil. Il ajoute que la
prétendue « réalité empirique » n'est qu'un attrape-nigaud et que « tout
pue ». Cependant, « malgré mon pessimisme bien connu, je ne suis pas
désespéré », affirme-t-il. Mais d'après Gragerfis, il bluffe.
(Fernand Delaunay, Glomérules)