L'homme du nihil voit dans
l'homicide de soi-même une poétique de l'indicible, comparable selon
lui à celle de Catulle. « Comme le poëte romain, écrit-il, l'homicide de
soi-même rassemble la violence et la grâce, cultive l'implicite et le
détour, et sait user à l'occasion d'une oralité ludique et festive. » —
Qui pourrait le nier ?
(Fernand Delaunay, Glomérules)