L'homme
du nihil est résolument favorable à la peine de mort car, primo, il est
vindicatif en diable, deuzio, « ça ne peut pas faire de mal », et tertio,
il n'a jamais pu souffrir les « belles âmes ». Comble de
jusqu'au-boutisme nihilique, il préconise même de se l'infliger à
soi-même !
(Fernand Delaunay, Glomérules)