Quand on le plonge dans le réel, l'homme du nihil « s'embouque en d'usuelles asphyxies ». Il ne s'y sent pas dans son élément. Les choses !... L'omniprésence menaçante des « étants » !... — Pourtant, il aime les peupliers. Et plus généralement, tout se qui vient sans soin et sans culture, et se plaît sur le bord des rivières et des ruisseaux.
(Fernand Delaunay, Glomérules)