L'urine
de vache était le seul remède dont les moines étaient autorisés à se
servir dans les premières communautés bouddhiques. Et quand on y
réfléchit, c'était juste et normal, car à part peut-être l'idée du Rien,
il n'y a rien de mieux que l'urine de vache.
(Fernand Delaunay, Glomérules)