Nietzsche
dit que « nos passions sont la végétation qui recouvre à chaque instant
les roches nues de la réalité ». Selon cette interprétation, les passions
seraient donc un genre de lichen ou de mousse. Mais le « penseur
paradoxal » ne nous en dit pas plus.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)