« Pourquoi
vivez-vous ? Est-ce que je vis, moi ? » — Voilà ce que le nihilique
dirait aux gens qu'il croise dans la rue s'il ne craignait de se prendre
des « mandales ».
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)