En
ce temps-là, l'homme croyait qu'il y avait de l'être. Alors il
marchait, il ouvrait des portes, montait des escaliers, etc. Comble de
bizarrerie, il pensait donner du sens à sa vie en fabriquant des romans,
des sonates, des tableaux de peinture, etc. Ces coupables superstitions
se maintinrent longtemps et ne purent être réprimées que par des édits
sévères de Constantin et de Justinien.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)