« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
lundi 4 juin 2018
Une vaine odyssée
Chaque jour, écrasé par l'ennui « comme une mouche sur laquelle se serait assis un éléphant », on répète les mêmes gestes et l'on prononce les mêmes paroles en se disant qu'il va tout de même bien finir par se passer quelque chose. Mais les mois et les années s'écoulent et rien ne se passe. Ou plutôt si : il se passe qu'un beau jour on est comme qui dirait « décédé ». Quoi ! Tout ça pour en arriver là ?! C'est tout de même un peu « fort de café » !
(Léon Glapusz, Mélancolie bourboulienne)
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