François
Mitrand pensait qu'une messe était possible. Il croyait aux « forces de
l'esprit ». Enfin, d'après lui, rien ne justifiait qu'on jetât aux chiens
l'honneur d'un homme et finalement sa vie.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
On dira ce qu'on voudra mais ça fait quand même son effet, ça donne légèrement le frisson.
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