À
la question : « Qui songe à moi dans la nuit noire ? », on fera en sorte
de pouvoir répondre : « Personne ». Et à celle plus embarrassante : « Qui
suis-je ? », on répondra : « Un monolithe hurluberlu bercé par de grands
vents sans mémoire ». — Si l'on est d'humeur lyrique, c'est-à-dire.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
En Ardèche, et quand on zozote un peu, il est fréquent de se demander "qui suis-ze, d'où viens-ze, Ouvèze, ...
RépondreSupprimerJe viens de comprendre.
SupprimerLa blague marche peut-être un peu moins mal si on dit "Ouvèze, qui suis-ze, d'où viens-ze...
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