On est
allongé sur un canapé en laine, abruti de fatigue existentielle et de
dégoût, ressassant la pensée que la vie est une courge amère, quand
soudain on entend un léger grouillement. Il est là ! Il est vivant ! Le
Rien !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Ce serait une trop rude discipline que de n'être jamais satisfait de rien. Et jamais de trou dans ce jamais, pas de répit, de trêve, d'éclaircie. Alors ce grouillement....
RépondreSupprimerBien dit ! Excellemment dit ! Ce grouillement !
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