Comme
elles sont de la plume de Dostoïevski, on peut à bon droit appeler les
Notes d'hiver sur impressions d'été des « notes Dosto » — de même
d'ailleurs que les Notes d'un souterrain. L'écrivain russe a laissé
beaucoup de « notes Dosto ». Mais il faut dire qu'il était épileptique,
aussi.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire