À l'instar du phacochère,
l'homme du nihil se nourrit surtout d'herbes, de racines et de fruits
sauvages. Il mange souvent dans la position agenouillée. C'est un ennemi
des philosophes, car il bouleverse les champs de concepts des « amis de
la sagesse » et autres « hommes de la Nature et de la Vérité » avec ses
défenses recourbées.
(Fernand Delaunay, Glomérules)