N'hésitant jamais devant les
pensées inouïes — et s'inspirant sans doute de Lichtenberg —,
l'homme du nihil définit sa vie « un gruère sans lame auquel manque le
manche, où il ne reste que les trous » !
(Fernand Delaunay, Glomérules)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)