D'après
Gragerfis, l'homme du nihil est « l'intercesseur obligé entre le vulgum
pecus et le Vrai, c'est-à-dire le Rien ». — Mais n'est-ce pas là lui
faire trop d'honneur ? Et que peut bien importer à l'homme du nihil
d'éclairer — métaphysiquement ! — le vulgum pecus à la manière d'un
radical quinquet ? Non, il y a certainement maldonne, ce n'est pas
possible.
(Fernand Delaunay, Glomérules)