Dans
les Chants de Maldoror, en plus d'être un poulpe, un rhinolophe, un
pou, un crapaud et un acarus sarcopte, Dazet représente l'autrui
lévinassien, l'éternel empêcheur de tourner en rond. « Va-t-en, Dazet,
que j'expire tranquille... »
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)