Pourquoi
les affections gaies semblent-elles agir plus spécialement sur les
viscères contenus dans la poitrine, tandis que les passions tristes,
comme le chagrin, l'ennui ou la crainte de l'alopécie, portent presque
toujours sur les organes abdominaux ? Est-ce que ça n'aurait pas à voir
avec... une tête de chien couché ?
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)