Pas
plus que Maldoror (et ne parlons pas de Georges Dazet), le nihilique
n'a pu trouver la réponse au grand problème de la vie, à savoir la
mortalité ou l'immortalité de l'âme. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir
cherché. Toutes ces heures au « page » à ruminer en vain... Il y a de
quoi l'avoir sec... Mais peut-être n'y a-t-il pas plus d'âme que de
beurre au prose ?
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)