« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
vendredi 17 août 2018
Le diabolique fakir des Cigares du pharaon
Membre de la bande des trafiquants d'opium que Tintin affronte dans Les cigares du pharaon, cet adversaire du genre humain utilise de redoutables pouvoirs paranormaux : il hypnotise, dresse des cordes dans le vide, défait ses liens... Parfois, on dirait que, dégoûté de sa propre vilenie, il n'y a rien qu'il souhaite tant que la mort, et qu'il considère cette vie comme une chose onéreuse, attendant avec impatience que son âme se sépare de son corps.
Il ressemble en cela au suicidé philosophique, mais ce dernier est plus expéditif et n'hésite pas à employer le taupicide pour mettre fin à une existence qui lui est à charge.
(Hermann von Trobben, Le Monocle du colonel Sponsz)
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