« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
lundi 24 septembre 2018
Bimotorisé
Deux forces souveraines commandent à l'homme du nihil et règlent sa destinée : le dégoût de l'haeccéité et la profonde aversion qu'il ressent pour le « monstre bipède ». (Johannes Zimmerschmühl, Pensées rancies et cramoisies)
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