Comment, après
Kierkegaard, après Fernando Pessoa, après le « philosophe de l'absurde »
Albert Camus, se trouve-t-il encore des gens pour se lever le matin ?
Comment le « monstre bipède » n'est-il pas paralysé par la sensation de
vivre isolé dans un univers de menace et de désolation sans autre
perspective que la mort ? C'est, pour l'homme du nihil, la grande
question (avec celle du taupicide qui lui est apparentée).
(Fernand Delaunay, Glomérules)
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