Il
n'est pas nécessaire d'être un grand penseur pour souffrir du « traczir
d'exister ». Ce « traczir » n'est d'ailleurs pas propre à l'homme et frappe
jusqu'aux plus infimes bestioles. Comme le note le Grandiloque des
Carpates, « les animaux sont presque tous tristes, il n'y a guère que les
souris qui paraissent gaies ».
(Fernand Delaunay, Glomérules)
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