Frappé
par un malheur, le fataliste se dit que « c'était écrit ». Il se
représente Dieu comme un auteur dans le genre du marquis de Sade. Le
nihilique, lui, se réfugie dans l'idée que « rien n'est » — mais il y a
des choses qui sont quand même dures à avaler.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Le fataliste pourrait aussi se dire que les choses qui arrivent, eh bien ce sont des choses qui arrivent.
RépondreSupprimerCela aussi est vrai.
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