Le
pire qu'il puisse arriver à un écrivain, c'est d'être lu. Surtout par
des pochetées qui s'amusent à lui saper le moral en lui disant que ce
qu'il écrit est « très beau et très fort », « d'une beauté transcendante »,
ou encore « lucide, sublime et bouleversant ». S'il n'arrête pas d'écrire
après ça, c'est qu'il en tient une bonne couche.
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire