Comment ne pas
avoir le « traczir » quand on constate que tout, ici-bas, est teinté de
déliquescence et de mort ? Mais quand on essaie d'imaginer un monde où
il en irait autrement, on est saisi de vertige. Le « monstre bipède »
immortel ! L'horreur à l'état pur.
(Fernand Delaunay, Glomérules)