« En début de soirée, j'ai le choix
entre 1) regarder le journal télévisé ; 2) lire un livre ; 3)
contempler, devant la maison, l'étang tout brillant de la lumière
flavescente du pachynihil et, environné d'arbres aux mille verts des
jeunes feuilles de printemps, caresser pour la millionième fois la
pensée de me détruire. — Je choisis la troisième solution. » (Stylus
Gragerfis, Journal d'un cénobite mondain)
(Fernand Delaunay, Glomérules)
(Fernand Delaunay, Glomérules)
On peut également se détruire au spectacle télévisuel du monde, mais c'est plus lent. Il y faut en général une vie.
RépondreSupprimerTout à fait vrai.
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