À
vouloir faire le mariole, à vouloir escalader à mains nues des falaises
métaphysiques aussi abruptes que les Grandes Jorasses, le nihilique
s'est cassé la margoulette. Il est tombé, comme le comte de Gloucester, « de l'effrayant sommet de ces bornes crayeuses ».
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Il faut être tombé, avoir vécu de ces chutes mémorables, tragiques, même, si on peut, sinon on deviendrait vite insupportable.
RépondreSupprimerTomber, on ne fait que ça.
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