Raymond
Doppelchor compare le Grand Tout à une gibecière pleine de « boyaux
combinards », dans laquelle l'homme est enfermé (en compagnie desdits « boyaux combinards »). Il dit que « ce n'est pas une vie d'être bouclé
dans une gibecière » et que « ça schlingue, là-dedans ; ça cocotte ».
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
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