Si l'on s'en tient uniquement aux ouvrages publiés de son vivant, l'itinéraire philosophique de Fink semble marqué par une profonde césure ; mais si l'on se penche sur ses écrits posthumes, on voit qu'en fait il n'en est rien. Son projet théorique se situait au croisement des approches husserliennes et heideggériennes, voilà tout. Il n'y a « pas plus de césure que de beurre au prose ». C'est peut-être décevant mais c'est ainsi.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
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